Étant donné qu’un seul existe, c’est l’égoïsme. Le contraire serait le communisme, mais qui n’existe malheureusement pas. Dans la politique ça serait aussi l’égoïsme. Moi j’ai appris à survivre. Dans des inclusions de caves, accidents d’avion, tremblements de terre, avec des centaines de milliers qui étaient morts, eux n’ont pas eu la chance de survivre. Voilà l’égoïsme, mais sans nuire aux autres au moins.
J’ai commencé comme instituteur, après j’ai étudié la géographie et pendant des dizaines d’années j’étais guide de voyages académiques spécialisé dans des pays d’Afrique chez le service de voyage de l’Association des Instituteurs Suisses (Schweizerischer Lehrerverein SLV) qui avait un service de voyage, ensemble avec KUONI. En tant que spécialiste en Afrique, j’ai conduit des professeurs de s’aventurer directement dans des domaines les plus impossibles, aventureux et intéressants. Par exemple, pour «cannibales» au Congo, qui aurait assassiné tous les blancs, qu’ils recevaient – parce qu’ils croyaient enfin d’acquérir leurs compétences et aptitudes, comme par exemple la richesse. Je me suis toujours battu contre les préjugés. Ils m’ont accepté et partagèrent tout, mais ils ne m’ont volé jamais. Après qu’un groupe m’a cherché pour aider à résoudre des problèmes médiaux, il me restaientt encore 14 ans. Et comme ça j’ai reçu encore une caisse de retraite.
Sans ce passé, je n’avais pas survécu Haïti. Parce que là, je l’avais choisie comme mon paradis de vieillesse, et ici je suis encore en vie, qui est un miracle. Je vis au milieu d’un monde merveilleux et surtout, encore … Je me sens en très bonne santé, je n’ai jamais été malade ou blessé, jamais eu besoin d’un médecin ou même de comprimés.
Après l’horrible séisme du 12 janvier 2010, nous avons fondé une école pour les orphelins et les enfants de rues. Presqu’avec rien, parce que j’avais tout perdu, même la maison qui était pour moi un paradis,… mais l’important c’est que je suis resté en vie et désormais mon « AVS’’ de la Suisse, je le laissé à mon ancienne famille haïtienne qui est juste resté en Suisse … naturellement.
Au départ, les enfants bien sûr ont dû payer quoi que ce soit pour leur enseignement (aujourd’hui …). Aujourd’hui, nous avons des amis qui nous aident tous (nous leur remercions de tout cœur et demander plus …).
J’ai examiné les deux meilleurs habitants, Melissa et Fritz, et ils ont adopté la même chose que mes enfants (j’ai seulement mes 84eme …). Ils ont eu la tâche encore la meilleure lecture et à traiter, en particulier en tant que professeur. « Best » signifie pour nous pas riches dans leur propre argent et le bonheur, mais le bien commun, en aidant les plus pauvres, en moins bonne santé, de la faim, etc.
Dans une école supérieure (photo ci-dessus) siègent d’anciens enfants de la ru. Chaque week-end, les enfants ont aucune école oui. Ils sont obligés de rester chez eux pendant que les travaux de construction continuent dans l’espace et directions d’école. On pourrait dire « formation à tous les niveaux » ou « Merveille du Monde – juste en Haïti » …Même les chefs d’établissement à l’école.
Le 18 mai, est « Journée du Drapeau », une vieille coutume dans une nouvelle robe. Toutes les écoles du pays agitent le drapeau Haïtien en vent frais, peu hors dépend un peu boitée la croix suisse. Dans un quartier résidentiel, les drapeaux flottant au milieu des tentes et des cabanes surpeuplées.
Drapeaux flottants et tentes colorées sont signes de vie; marquant la nourriture ou même la survie. Les chansons sonnent, le drapeau est célébré. Il est hissé devant chaque bâtiment scolaire et chaque école dans le pays depuis le début de l’école lors d’une cérémonie suggestive, avec des prières et parfois la maîtrise vocale, un moment exaltant.
La vie et la survie des personnages, les enfants apprennent, jouent et font une pause, sont de nouveau joyeux et heureux.
Surtout quand Manna pack (la manne) est distribué. Selon la Bible, la chute de la faim, même du ciel aux pieds. Que ce soit au sens réaliste ou symbolique, est hors de propos. La principale chose qu’il y a à manger.
Chez nous, le Manna sort de la cage sur le toit, comme ils l’ont apporté et sont préparés dans des paquets ci-dessous, fait par les «bons esprits». Bien sûr, pas dans toutes les écoles; les enfants de Schoolhouse 1 doivent venir à la terrasse de School House 2, où les Packs Manna sont déjà prêts.
Chaque enfant reç0it sa ration et met le dans son sac pour se rendre à la maison. Cuir et manger sont alors leurs devoirs, devoirs à la maison.
Et enfin, en image et le son, l’ambiance ne pouvait pas être plus exubérante – de ne pas croire que cela se produit seulement en Haïti.
Et comme dans les anciens enregistrements, y compris « avec la bannière et timbales», ou «tout chanter! » Ce sentiment reste! …
Mon commentaire: « Lire et écrire ne suffisent pas pour vivre et survivre! »
Commentaire de lecteur: « Leurs rapports sont probablement le courant unique et crédible du tout, qui peut être obtenu à l’époque. Un grand merci pour ça!«
Et encore un commentaire de lecteur:
« Quoi de mieux que de voir les enfants heureux. Merci à l’invité d’honneur de l’engagement en Haïti! »
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