Vieille image, toujours nouvelle: le chemin à l’école n’est pas devenu mieux, au contraire. Directement avant notre maison, le « château de la montagne », ils construissent des murs, avant des fossées, barrants le chemin pour centaines d’enfants. Il y a des accidents presque journalièrement. Quesqu’on verra aprés les vacances, qu’il y a momentanement?
Il manque un gouvernement, un président, un procédé de construction.
Les derniers mètres sont obstrués , souvent des plate-formes sur piliers, pour la résistance aux tremblements de terre ou des bâtiments de grande hauteur il ne suffit pas.
De la planification des constructions on a jamais entendu parler. Directement en face de notre maison, le « du château de montagne », sont construits des murs sur le chemin de l’école. Des centaines d’enfants ont à serrer des tranchées passées, se produire des accidents presque quotidiens. À quoi il ressemble après, nous verrons.
Notre voisin à l’est. On dit, que la vlla en haut aurait un accès souterrain. De nous on voit bien les salles qui sont illuminées pendant la nuit et les jardins tropicales décoratifs sur la plateforme. Dans l’environ toutes les maisons et slums sont démolis, le terrain se cache derrière les hauts murs, le propriètaire (on dit ça serait un Suisse) veut pas voir les slums, il pense en les démolant sur le propre terrain le problème serait résolu. Je montre un peu de vèrité:
Voilà Lakou-mangue. Toutefois, pour les mangues il y a pas de place. SPACE est le problème. Ici, nos étudiants viennent de qui ne serait pas autrement école. Et pas d’argent. La plupart n’a même pas une maison. Ils bivouaquèrent en plein air, autour de la maison de Melissa. Sur le plancher de pierre. Et quand il pleut, ce qui est violent, ils se déforment. Je ne sais pas où.
Pas d’espace pour des jardins et des terrains de jeux. Plus près de la ville, les maisons sont colorées. Grâce de couleurs ou les couleurs de la pauvreté? Est-ce que « coloré » gai et convivial?
Bouches du Mal disent « pour les yeux des clients. » Je ne le pense pas. Chants, tambours, cornes, trompettes, des prières en chantant pour les touristes? A peine leur goût. Il y a aussi même pas, un autre problème … Même dans Lakou-mangue il y a des maisons peintes individuelles, peut-être 5 ou 10%. Pas même couleur peut se permettre le plus.
Couleurs, sons, chansons, applaudissements, chansons et même dansse quand les chambres de groupe s’offre. Il retentit et palpite partout, qui aide à oublier la faim.
Quandmème ils existent quelques jardins derrièresdes murs ou à l’intérieur des maisons. Voilà des examples.
LIRE ET ECRIRE c’est toujours mieux. Les enfants l’apprennent le moindre correctement! Mais ça suffit pas pour survivre.